Il y a des jours avec et des jours… sans… Aujourd’hui c’était le genre de journée qui dure une vie, le genre de journée ou tu ne pense qu’à ce qu’elle se termine… Et puis au final arrive le moment ou elle se termine et tu vois dans la brume de la journée ton petit brin de soleil et tu n’a qu’une hâte c’est que demain arrive au plus vite.
Bises Coquines,
Bonnie & Clyde.
La rêverie est le dimanche de la pensée!
Vous aurez remarqué avec malice que Bonnie a pris de son temps hier soir pour répondre à vos commentaires. Ce que, nous le concèdons bien volontiers, n'avions pas fait depuis quelques temps d'ailleurs. Conscients que ce surplus d'activité scripturale à entrainé une fatigue accrue, vous comprendrais que l'article de ce soir se limite à un cliché qui n'en restera pas moins enchanteur. Un cliché dans un beau lieu entouré de vieilles pierres (le thème de la semaine) mais qui n'en reste pas moins devant une belle porte pour revenir à nos amours.
Bises Coquines,
Bonnie & Clyde.
Il y a le possible, cette fenêtre du rêve ouverte sur le réel.
Où est le possible ? où est le réel ? je vous laisse juge pour ce soir, de mon coté j'ai déjà une petite idée, mais je suis sans doute sous l'influence du charme de ces vieilles pierres... ou d'autre chose... qui peut savoir...
Bises Coquines
Bonnie & Clyde
Il faut être fier d'avoir hérité de tout ce que le passé avait de meilleur et de plus noble. Il ne faut pas souiller son patrimoine en multipliant les erreurs passées.
Quelques mots dans la continuité des choses que nous apprécions, le plaisir et les belles choses de manière générale. Les beaux mots bien sur vous l’aurez compris et peut être l’aurez vous compris aussi les belles pierres. Quoi de plus normal dés lors que d’apprécier de nous voir l’un ou l’autre pris sur le vif devant un beau lieu , ou peut-être même dans un beau lieu . Et comme les envies sont faites pour être exprimées , et bien commençons dés ce soir par un premier cliché qui sera suivit de bien d’autres.
Bises Coquines,
Bonnie par les yeux de Clyde.
Retirez-vous, censeurs atrabilaires ;
Fuyez, dévots, hypocrites ou fous ;
Prudes, guenons, et vous, vieilles mégères :
Nos doux transports ne sont pas faits pour vous.
C’est ainsi que Mirabeau introduit « L’éducation de Laure », et c’est ainsi que nous pourront le lire ce jeudi 24 juin puisque c’est le quatrième roman de la collection : « les grands classiques de la littérature libertine » que nous propose le monde. Et en attendant et bien je vous invite à être patient le temps que je retrouve Bonnie.
Bises Coquines.
Bonnie & Clyde
