Lundi 18 juillet
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20:35
"walk on the wild side" a beaucoup de traductions possibles.
Parce que c'est une expression américaine
et que "wild" peut se traduire de nombreuses façons.
"Ose t'avancer du côté fou" par exemple,
me semble une traduction bien à propos aujourd'hui.
Bises Coquines,
Bonnie & Clyde.
Par bonnieandclyde29
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Mardi 12 juillet
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12
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/Juil
20:34
Pour poursuivre dans cette série une petite phrase reçu par mail de Kyril,
"Quand se confondent les matériaux nobles d'un piano avec le tissu de la chair, ses parts d'ombre et d'autres de lumières, alors commencent les gammes
d'un apprentissage entre tendresse et violence du touché, d'un phrasé ou d'une musique qui s'inscrit dans la vie..."
Bises Coquines,
Bonnie & Clyde.
Par bonnieandclyde29
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Lundi 4 juillet
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21:09
Dédicace à Gloria, nouvelle venue sur le blog,
qui nous à inondée de commentaires pour sa première visite...
Une récompense s'impose ce sera donc ce sixième cliché de la série Pianérotique.
Bises Coquines,
Bonnie & Clyde.
Par bonnieandclyde29
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Lundi 27 juin
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21:23
Un poème anonyme bien sympathique pour continuer les clichés de la série pianérotique...
Tu es à nouveau là dans cette pièce aux lumières tamisées
pour une troisième leçon de piano.
Tu me regardes d'un air aimant comme si j'étais ton bien-aimé
Et moi je joue encore et toujours avec les sons, avec les mots.
Ton regard se fait tout doux et ta bouche se fait tendresse
Je t'observe et il m'est difficile de me concentrer pour jouer.
Mes mains se promènent sur les touches mais je ressens quelques faiblesses
Il devient alors pénible de t'apprendre à jouer.
Bises Coquines,
Bonnie & Clyde.
Par bonnieandclyde29
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Dimanche 26 juin
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/06
/Juin
21:20
Pour marquer le retour du soleil et poursuivre dans le thème de la galerie "Pianérotique" je vous propose ce soir un poème de Paul Verlaine :
Le piano que baise une main frêle
Luit dans le soir rose et gris vaguement,
Tandis qu'un très léger bruit d'aile
Un air bien vieux, bien faible et bien charmant
Rôde discret, épeuré quasiment,
Par le boudoir longtemps parfumé d'Elle.
Qu'est-ce que c'est que ce berceau soudain
Qui lentement dorlote mon pauvre être ?
Que voudrais-tu de moi, doux Chant badin ?
Qu'as-tu voulu, fin refrain incertain
Qui vas tantôt mourir vers la fenêtre
Ouverte un peu sur le petit jardin ?
Bises Coquines,
Bonnie & Clyde.
Par bonnieandclyde29
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