Bonnie & Clyde 29
Un poème anonyme bien sympathique pour continuer les clichés de la série pianérotique...
Tu es à nouveau là dans cette pièce aux lumières tamisées
pour une troisième leçon de piano.
Tu me regardes d'un air aimant comme si j'étais ton bien-aimé
Et moi je joue encore et toujours avec les sons, avec les mots.
Ton regard se fait tout doux et ta bouche se fait tendresse
Je t'observe et il m'est difficile de me concentrer pour jouer.
Mes mains se promènent sur les touches mais je ressens quelques faiblesses
Il devient alors pénible de t'apprendre à jouer.
Bises Coquines,
Bonnie & Clyde.
bisous Ludo
Jolies photos